mon vrai nom
De plus, sur les couvertures de la presse mise aux archives, les magazines rock ou bohème cadrent les présentations pour faire sensation. Sur cela, on synthétise ainsi un épisode du temps. C'est people, évènementiel, avec des "amuseurs publics" en vedette, c'est farfelu et chevelu... en mode cloche ou à paillettes... On trouve tout cela sur Google. Et les pages à tourner ne témoignent pas pour autant du naturel prosaïque d'un ordinaire qui a muté de façon phénoménale et que on dissimulera pour barrer l'itinéraire bis de la vie.
Pourtant quand on extrait d'autres docs des archives éthiques et conventionnelles (sport, armée...) on comprend les feux sacrés de la Supernova sociologique en progression et atteignant son paroxysme aux mid seventies... avant de s'amenuiser jusqu'aux feux couverts de la mesquinerie.
mon vrai nom
il ne faut jamais dire jamais !
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