L’avatar occidental de mon nom se distingue par une transposition graphique de trois lettres extraites des 11 lettres totales qui le compose dans sa forme latine. On peut donc citer (et dessiner) « oyo » oyo is a villainous sex symbol… hum well ! One colt, one holster, and two zeros !! very fast draw..! hu hu !! Sous vos yeux, le cow-boy a tiré plus vite que son ombre et laisse deux zéros sur le plancher. en turc ottoman le nom arménien « issu du mouton » était égal à lui-même pour évoquer la légende de la Princesse de Trébizonde.et la Horde du Mouton Blanc le néerlandais ==> la transcription évoque une vache et éventuellement un jeune djinn si on veut mais rien d’interpellant au plan phénoménal. A Anvers (nl Antwerpen) le nom fut créé en sa forme alphabétique sous l’insistance du préposé impatient de compléter son registre administratif au moment de l’inscription à l’immigration. C’est à ce moment là que s’est opérée l’incidence phénoménale. En 1920. en français, le nom prononcé, que je ne donnerai jamais en toutes lettres, devient une catastrophe. On entend alors une expression évoquant des ordures... Le général de Gaulle affirmerait bien que le 6 juin 1944 adjoint une garantie salutaire à ma signature. car en anglais par contre, le nom peut prétendre à un certain snobisme. On lit et on entend un beau nom épique ! Et d’autant mieux en américain... Quelque chose de texan comme : “Cow-boy young giant” A faire pâlir John Wayne de jalousie. Yap !!! Tout ce que je fais ici je peux le faire !! Quelques années après la création de ce « nom du mouton » (pour ne pas le citer) sous sa forme latine, mon père né en Belgique a suivi les cours à l’Académie d’Anvers en plus de sa formation de dessinateur technique (cartonnages... pour faire des boites) dans l’usine familiale. Il écoutait le jazz et aimait la culture anglo-saxonne jusqu’au point de faire caca sur les marches d’un mirador nazi érigé dans le parc près de chez lui en 1941 Résultat : Dicran fut incorporé de force au Travail Obligatoire en tant que réfractaire et fut envoyé à Berlin (Hennigsdorf) dans les usines AEG. En fait c’était un camp dont Hitler avait le secret car il a dû prendre la mouche par ce nom arménien de zazou à la graphie caricaturale ironique et d’une euphonie tellement anglo-saxonne prédisant la défaite de l’oppresseur. Le nom arménien fut très probablement le sujet d’une attention toute particulière de la part du führer, autrement Dicran n’aurait pas été affecté en zone centrale du Reich nazi. Si près du Reichstag. Lors de l’étude du dossier du réfractaire Dicran, Hitler a-t-il cédé à une de ses crises de colère mythiques ? Quel en sont les effets collatéraux dans le temps? <oyo prophesies Hitler’s death> |