ouroborosla "War on Drugs"

La consommation de drogues lors de la guerre du Vietnam intervint comme une pénalité pour les troupes US. Le génie légendaire instiguant la stratégie de l'héroïne appliquée pendant la 2de gm fut imité en des essais cahotiques. La fourniture non assumée par l'intendance militaire laissait l'initiative à l'individualité. 

Des sources documentaires:

 

illustration d'un article de presse

MainMise: magazine underground québecqois des seventies traite de la guerre au Vietnam.

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Trente-cinq des gardes affectés à l'Ambassade américaine à Saïgon prennent régulièrement de l’héroïne" (Le "Hong Kong Star" du 31 octobre 1972).

Un des problèmes que va causer dans les mois à venir le rapatriement des troupes américaines d'Indochine sera celui de l'héroine et de l'opium. On estime, en effet, qu'un nombre assez important des braves et courageux Marines a pris l'habitude de l'héroine et de l'opium durant la guerre qui ne vient pas de se terminer. De récents rapports ont également montré que les accusations portées par les fascistes contre les  Communistes qui envoient l'opium et l’héroïne en ce brave Occident capitaliste pour le détruire sont fausses. En fait, en Chine communiste les trafiquants d'héroïne sont tout simplement fusillés.

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Le G.I. US a essayé de répercuter au Vietnam l'aloi légendaire de la 2de GM. En effet lors des sixties et seventies la notion des statistiques historiques donnaient matière à méditer... Comment expliquer la disproportion des pertes humaines entre les Soviétiques de Staline et les Alliés de Roosevelt?

<copy pedagogie.ac-reims.fr>

Plus de 20 millions de morts en Union soviétique.
En chiffres absolus, c'est l'Union soviétique qui a subi les pertes humaines les plus élevées, aussi bien en ce qui concerne les civils que les militaires: environ 21 millions de morts, c'est-à-dire 70 fois plus qu'aux Etats-Unis.
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Du côté de l'Historia apparente on a l'habitude d'établir que les Soviétiques ont assumé plus de 80% des pertes en vies humaines alliées sur le continent occidental. La stratégie de l'opium, la diamorphine n'a pas cours sur un champ de bataille qui ne s'y prête pas. Le grand froid des ces contrées a établi sa réputation d'extravagance climatique phénoménale. Avec la stratégie de l'héroïne par les Russes on trouverait dehors une armée figée par les grands froids en des postures humaines gelées exhibant l'extase sereine sur le visage. Sans aucun intérêt stratégique. L'atout russe ne réside pas en l'héroïne mais en son potentiel humain fournissant à la disposition des stratèges des millions de combattants envoyés au choc.

Les Anglo-Saxons ont des siècles d'expérience relative à l'opium et ils savent où et quand instiller l'élément héroïne en leur stratégie pour aller à l'efficience. On ne comptabilise pas les sujets drogués comme victimes de guerre dans les statistiques. Ce sont des victimes coaxiales. La nuance fait un secret de ces générations menées par le Président Roosevelt pour un épisode retiré de notre perception. 

spécimens classiques

Le déroulement d'une nouvelle guerre (du Vietnam) par un Monde d'après-guerre reposant sur des lauriers surranés (de la 2de GM) crée des turbulences d'incompatibilité, et le 17 juin 1971 le président Nixon déclare la "War on Drugs".

 

Le président évoque "l’ennemi public numéro un" et déclare "le problème a pris les dimensions d’une urgence nationale".

 

<== des spécimens "classiques" ciblés par la War on Drugs, comme aussi les R.C. (synthèses issues de la Recherche Chimique) à commencer par le LSD hallucinogène... 

 

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le 2d objet de la "War on Drugs"

Face au problème de drogue et de défection, l'administration Nixon a donc projeté de rééquilibrer les résultats de la guerre par des méthodes radicales telles que le napalm, les défoliants... Là où faisaient défaut les mitrailleurs, furent mis en place des systèmes automatiques de détection et d'anihiliation pour donner la rétorque au Vietnam. Ce sont des applications de guerre contre l'ennemi de l'extérieur.

Des dispositions majeures des ministères ont été appliquées aussi contre l'ennemi intérieur en réaction à la décadence d'une société en ébullition se défilant à l'appel du drapeau.

La presse Underground américaine, canadienne, québequoise francophone, française, matérialise la War on Drugs et surtout établit l'effort des autorités pour éradiquer la Marijuana en provenance du Sud, comme l'Acapulco Gold par exemple.


Pourquoi éradiquer ce nec plus ultra de la Marijuana Sativa Sativa à l'exception de toute autre variété dans le Monde entier?


Réponse:
1* pck elle caractérise la révolution sexuelle fondue aux troubles sociaux.
2* l'approche de la marijuana comme amorce de la libido expérimentale allait jusqu'au citoyen de la majorité sociale. Faire une exprérience "touristique" du stimulus potentiel lors du rapport intime a tenté nombre d'individus civilisés (alphabétisés, instruits, avec un job).

nota A: en France, par les opérations "coups de poing" (Giscard d'Estaing) la motion de Mai 68 devra désormais se ramener à être limitée au registre des archives.
nota B: le Bangui, Sativa Sativa de Centrafrique, est l'équivalent de l'Acapulco Gold américaine. Elle en est la version européenne...

Question subsidiaire pour les habitants des forêts équatoriales avec le Bangui comme support traditionnel d'existence pour toute leur postérité répercutée depuis les temps anciens (les Pygmées par exemple). La coutume du Bangui pour concocter l'appétence est elle encore pratiquée? Avec quelle qualité?

Voila donc expliqué le verrou médiatique actuel pour couper toute affinité ou inclination civique vers la drogue. C'est en ce genre de stratégie que réside la War on drugs par sa vraie dimension.

Comment une telle affirmation peut elle prétendre à de la crédibilité?

Réponse:
parce que le Bangui c'est du "pot" français en fait... comme celui américain cheminant par la Colombie, le Mexique, la Californie ou la Floride et jusqu'au Canada en remontant vers le Nord .

Sachant que l'Acapulco Gold a fini par être éradiqué avec des moyens chimiques (Paraquat) on peut se poser la question pour le Bangui. Des opérations centrafricaines (en collaboration avec l'état français probablement) ont fort vraisemblablement eu lieu sur le modèle américain.

La Sativa forte, à l'instar du Pavot Somnifère, a été ciblée par le Pentagone. En effet, l'opium a ravagé une part de l'humanité jusqu'à son ADN. La marijuana n'est pas de ce niveau même si ses conséquences auraient fait le pain des psychiatres, des addictologues et des gynécologues alors en butte à un phénomène de civilisation...

Le Bangui, après son High, mène au spleen pointé en psychiatrie notamment. Une question reste posée pour l'hypothèse sociale de cette Sativa du nec plus ultra. Elle fait le noyau des évènements sociaux, de leur turbulence (Make Love, Not War), et toute une expérience en matière sociale ciblée par la War on Drugs.

Aujourd'hui c'est le silence total et la nuit d'encre quand le tumulte effervescent emplissait notre agora il y a encore une minute... Toute une recherche sociologique, tout un déploiement sur la libido, se voient confisquées de la connaissance citoyenne...

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Peace symbol

A la réflexion, qu'est ce qui pouvait susciter autant d'écho persistant pour l'éloge d'un certain snobisme social prétendant faire l'avant-garde de l'émancipation? Un idéal politique? Artistique? Ou alors une association avec quelque chose d'absolu et de viscéral comme le sexe plutôt... Là on retrouve une cohérence en accord avec notre méditation. On comprend tout !

 

Eradiquer des variétés de marijuana portant sur la libido pour des raisons politiques, c'est invalider tout un mouvement philosophique relativement véhément. OK on a éradiqué le support sexuel acquis au militantisme mais on a sanctionné l'émancipation. 

 

On n'a pas recyclé une philosophie quand les polarisations politiques de toutes couleurs ont été mises au point en une sorte de recyclage afin de terminer le 20me siècle et aborder le IIIme Millenium.

On n'a pas recyclé, on a censuré et aboli une philosophie, une recherche, une pierre philosophale...

 

Pour le point de la Morale: un puriste de la nature humaine se défie des moyens accessoires tendant à hausser le potentiel original de l'Homme, mais lorsqu'il s'agit de s'armer en situation de polémique alors tous les stratagèmes adviennent à propos... On ira jusqu'à s'adresser aux laboratoires de pointe en tout domaine d'application. Or la marijuana du militant s'est révélée comme un réflexe d'emphase en situation de conflit civil.

En effet la marijuana prend sa place au niveau sociologique avec la légendaire "Acapulco Gold" (du Mexique et de Colombie) une sativa plus forte que la plus forte des sativa jusqu'à se répercuter au niveau de la libido. En France un équivalent circula dans le trafic des stupéfiants. Cette marijuana s'écoulait sous l'appelation de "Bangui". A l'époque de l'Empire de Centrafrique (Bokassa), une ligne aérienne directe donnait l'opportunité aux dealers de relier Bangui à Marseille et Paris.

A ressasser notre mémoire, la transmission orale et les archives, on remarque bien la résolution opiniâtre de censure à l’égard d’un élément clé assimilé aux troubles sociaux de façon caractéristique.


Flashback sur les cannabis Sativa et Indica:

L’évocation du Cannabis suggère automatiquement l’Indica ou la Sativa, ceci étant une hérésie au regard de la taxonomie. Tous les cannabis portent l’adjectif latin « sativa » ("de culture") du simple fait que au temps des Romains on cultivait le chanvre pour sa fibre utile en matière de cordage et de marine. Les Anciens ne prenaient pas en considération le cannabis « mauvaise herbe » en croissance sur les terrains vagues, un peu partout autour de la Méditerranée et dans les civilisations tierces des continents. Le cannabis devait être présent sur les spots d’accostage, les ports où existaient des cultures agricoles dévolues à la fabrication de cordages (Carl Linnaeus scella le classement "Cannabis Sativa" en 1753)

Mais quand il s’agit de modernité, de récréation ou de clandestinité on ne va pas citer à chaque fois toute la dénomination scientifique « Cannabis sativa subsp. sativa » ou « Cannabis sativa subsp. indica ». On est entre nous. « sativa » ou « indica » sont suffisants.

Une tête de plant Sativa, bien que plus légère que celle de l'Indica se distingue de façon plus exclusive dans la composition entière relative aux cannabinoïdes par la présence de THC.
L'Indica, au contraire, rassemble plus de composantes cannabinoïdes "auxiliaires" à côté du principal: le THC. Donc l'Indica convient mieux pour la production et le commerce par son abondance de résine mais la Sativa recèle une certaine valeur par son THC plus omnipotent.

Par la métaphore suivante on placera deux sortes de résine en comparaison ==> un petit pois en or a plus de valeur que une prune en plomb. Ainsi on a comparé la résine de la Sativa à celle de l'Indica.

Pourquoi le principe actif de l'Acapulco Gold s'impose par son THC?
Dans les anciens documents on parle de Marijuana, d’ « Acapulco Gold », on voit du cannabis sauvage à neuf ou même parfois onze (et 13 ?) folioles par la faveur climatique de la Colombie suffisament clémente pour amener la persistance botanique pluri-annuelle !! Il s'ensuit une concoction naturelle de nectar plus dense en principes actifs. Cela monte jusqu'à la libido de l'être humain.

Mais la War on drugs déterminée est même intervenue au niveau des collections de graines de sativa désormais détruites. Ces collections étaient subsidiées à l’origine dans le cadre de l’étude scientifique. Aux USA le ministère refuse d’accueillir de nouvelles collections (du domaine psychotrope). Comme pour le pavot et l’opium, on remarque qu’il y a du chipot dans le Monde à ce niveau. Il y a volonté d’éradication de tout ce bord caractéristique de la drogue qui fit l’évènement et même avant cela, l'expertise de certains empires.